Alors que les médias et la classe politique américaine se livrent à une surenchère d’accusations sur une hypothétique ingérence russe dans leurs élections, cette mappemonde fondée sur une étude de l’université Carnegie Mellon met en évidence les pays où les Etats-Unis, entre 1946 et 2000, ont indubitablement influencé les élections — parfois de manière spectaculaire.

Outre leur traditionnel «pré carré» latino-américain, on remarque un intérêt tout particulier pour le sud-est asiatique. Mais l’on s’étonnera de l’absence de quelques «clients» de marque, comme le Portugal, le Pakistan ou le Vénézuela.

Des mauvaises langues prétendent qu’une étude plus appuyée aboutirait à colorer en orange plus de la moitié de la planète.