En Suisse, il est beaucoup plus commode d'être violeur que chauffard. 

"…Le prévenu a aussi filmé chaque rencontre avec les adolescentes. Il a ensuite partagé les images avec des amis sur le web. Il a envoyé des images à caractère pornographique à des jeunes filles. Il a aussi forcé certaines à faire des photos et des vidéos pornographiques pour lui."

Le plus étonnant est que le procureur suisse n'avait réclamé que quatre ans de prison pour un tel tableau de chasse.