C’est Glenn Greenwald, l’illustre enquêteur qui publia les révélations d’Edward Snowden, qui le relève:

«A-t-on jamais présenté une quelconque preuve à l’appui de cette affirmation, que le NYT traite comme la Vérité? En a-t-on même besoin?»

L’affirmation en question est celle-ci (c’est Greenwald qui souligne:

«Sous les ordres directs de Vladimir Poutine, des hackers liés aux renseignements militaires russes ont violé les comptes e-mail d’officiels de haut rang du Comité national démocrate et du chef de campagne de Hillary, John Podesta.»

Qui a encore besoin de preuves pour accuser M. Poutine de piratage, d’assassinat ou pire? Quand on sait que la moindre allégation du NYT vaut parole d’Evangile pour nos «journaux de référence», il ne fait aucun doute que cette «vérité» sera bientôt inscrite dans les manuels d’histoire… ou de journalisme.