Les autorités françaises et les médias ont délibérément camouflé les circonstances de la mort du gendarme héros Arnaud Beltrame à Trèbes. On pouvait s’en douter, les euphémismes du type «blessé au cou» et «lésions mortelles à l’arme blanche» dissimulaient en fait une exécution islamiste rituelle. Le lieutenant-colonel Beltrame a été égorgé comme le père Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray ou comme les 28 prisonniers chrétiens de Daech en Ethiopie.

L’enfumage a été dénoncé par un tweet d’une certaine Viviane, se disant sœur du chirurgien qui a accueilli le lieutenant-colonel à l’hôpital de Carcassonne. Son compte (@entrevoixnues) a ensuite été suspendu. Mais les copies d’écran du tweet ont immédiatement circulé sur les réseaux sociaux.

Par-delà cette polémique, le criminologue Xavier Raufer souligne la réalité inquiétante que révèle l’attentat de Redouane Lakdim, et que les autorités s’emploient à minimiser au nom de la «politique de la ville»:

«24 mars matinée : l'hybride racaille-salafiste Radouane Lakdim vient d'assassiner quatre innocents et d'en blesser 15 autres. Des journalistes affluent à la cité Ozanam de Carcassonne, dont Lakdim est un pur produit. Réaction de la milice narco-islamiste locale "Casse-toi, je vais t'éclater"... "Barre-toi d'ici ou je te casse les jambes". Regards haineux ; des journalistes sont molestés, leur matériel, volé. Milice vraiment ? Oui : "Toutes les issues sont contrôlées... Les journalistes fuient... des jeunes les poursuivent à bord d'un véhicule"...

Une "retraitée" [décodeur : l'ultime Française du coin] : "Une minorité pourrit le quartier... Ils ont pris le pouvoir". Notons que tout ceci provient de la notoirement bienséante France-Info