On aurait préféré le lire dans nos sources européennes courantes, mais c’est une nouvelle qu’il faut hélas allez chercher sur le mal famé Breitbart, le site de Steve Bannon, l’un des principaux coupables de l’élection Trump.

L’on y apprend donc, le 17 juillet, que le lycée d’Al-Hijrah à Birmingham, première institution scolaire islamique à avoir été financée par l’Etat britannique depuis 2001, a été soumis à des «mesures spéciales» suite à la découverte de textes favorables au viol dans la bibliothèque scolaire ainsi qu’à la mort d’un enfant par réaction allergique.

[«Dans un rapport publié en mai, l’inspecteur Ofsted a également identifié du mobbing, noté que le terrain de jeu était dans un état chaotique, l’enseignement lamentable, que les élèves n’étaient pas en sécurité et qu’une partie du personnel ne savait comment agir en cas d’urgences médicales. L’école était étiquetée “inadéquate", ce qui représente l’évaluation la plus basse.»]http://www.breitbart.com/london/2017/07/17/uks-first-state-funded-muslim-school-taken-over-by-gov-after-pro-rape-books-found/)

Mais ce n’est pas tout: le rapporteur s’en prenait également à la «politique de ségrégation entre garçons et filles dans l’école, déclenchant une bataille juridique de longue haleine, et qui a toujours cours».

Ainsi donc, les autorités britanniques qui financent l’enseignement islamique s’étonnent de découvrir de la ségrégation sexuelle dans les écoles. Dans un prochain audit, peut-être découvriront-elles que la pluie, ça mouille.