Dans son blog très libre et à l’occasion insolent, Pascal Décaillet prend à rebrousse-poil l’ensemble du mainstream médiatique en défendant ardemment la démocratie directe — et s’interrogeant du même coup sur le crédit qu’il reste encore à la «démocratie participative», soit aux parlements.

«…ceux qui n'ont que le mot “populiste" à la bouche sont en train de perdre la bataille. Les gens commencent à percevoir que ce mot n'est peut-être pas aussi péjoratif que cela. Par son étymologie, qui est belle, et que toute oreille latine saisit d'un coup, sans besoin de grands discours savants. Mais aussi par sa chaleur, sa beauté, sa puissance affective, son appel à la masse d'un corps électoral, tout de même plus légitime qu'un Parlement.»