Valery Gergiev est l’un des plus grands chefs d’orchestre du moment. Il est aussi un ami du président russe, comme les plus grandes vedettes du show-biz et du rap sont les amies de l’ex-président Obama, l’homme qui fit exécuter plus de gens aux quatre coins du monde et bombarder en simultané plus de pays qu’aucun de ses prédécesseurs.

Cela n’empêche pas Gergiev de diriger les plus grands orchestres et d’être adulé aux quatre coins du monde… Sauf en France, où ses amitiés politiques, de toute évidence, polluent sa musique et la font sonner faux.

Le site Stoprussophobie.info propose une revue de presse complète du crétinisme idéologique écumant dans lequel sont tombées les rédactions «culturelles» du mainstream médiatique français. Comme d’habitude, l’adjectif «sulfureux» y est accommodé à toutes les sauces, comme s’il n’y avait pas d’autre épithète pour exprimer son dégoût d’un personnage sans pouvoir dire ce qu’on lui reproche exactement.