Dans l’Allemagne des années 30, on brûlait des livres. Dans la Genève d’aujourd’hui, ce ne sont «que» des factures. Chacun immole ce qu’il hait le plus! Organisé par une artiste, le [«bûcher des endettés»](

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) est-il un «happening», un défouloir supervisé par les autorités ou la première hirondelle d’un refus de payer généralisé dans un pays où de moins en moins de gens parviennent à endurer le coût de la vie?

Comme souvent chez les Helvètes, on dira que c’est «un peu des trois»…