Dans un cahier «Idées» par ailleurs rempli de bondieuseries féministes, Le Monde du 28 octobre publie une diatribe frappée au coin du bon sens contre la symbiose entre l’humain et son smartphone qui nous guette tous.

Outil indispensable de communication écrite, visuelle, auditive, accès à l’information et à la distraction, boussole, moyen de paiement, appareil photo... Faut-il encore qu’il nous accompagne au lit? Non, dit Luc Vinogradoff.

«De tous les objets rendus quasiment obsolètes par le téléphone portable, il en est un, pourtant, dont la résurrection pourrait être fort utile pour réduire notre technodépendance: le bon vieux radio-réveil du XXe siècle.»

Exfiltrer son téléphone de la chambre à coucher et le laisser se charger tout seul au salon apparaît de fait comme un bon moyen de couper le cordon ombilical.