Dans une interview nette et courageuse au Figaro, l’essayiste et ex-secrétaire d’Etat à la Jeunesse dénonce le déni et la complicité qui entourent le terrorisme islamiste au lendemain de l’attentat de Marseille. L’appareil judiciaire est particulièrement visé, jugé désuet tant dans son dispositif que dans sa manière de penser.

«Nous devons réduire le pouvoir d’appréciation des juges qui sont susceptibles de remettre en liberté des individus radicalisés. Cela demande un changement de mentalité de la part des magistrats.»

Ne restera-t-il bientôt plus que des femmes pour défendre une attitude virile face à la terreur islamiste en France?