Comme avec la «radicalisation» des auteurs d'attentats terroristes, on pourrait analyser l'influence des discours de haine sur le passage à l'acte des âmes influençables dans le cadre de la bronca permanente anti-Trump.

De fait, ces dernières semaines, les prédicateurs de la haine contre le président américain s'en sont donné à coeur joie. Mais il est évidemment hors de question de leur prêter toute responsabilité pour leurs propos, même lorsqu'ils sont dénués de tout fondement.

Voir aussi: «La gauche américaine veut tuer le président Trump»